POLYKLEITOS ( v. 450 av. J.-C. )

ISNI:000000010219154X Getty:500014683
Sculpteur de l'Antiquité grecque

Quotation

Galenus {Lib. V. de Hippocratis & Platonis dogmatibus} ghewaeght dat Polycletus niet alleen de regulen om een volkomen stuck-wercks te maecken in ’t schrift ghestelt heeft, maer dat hy boven dien goed vond een statue nae ’t voorschrift der voornoemder regulen te maecken. Policletus maeckte een stuck wercks, seght Plinius {Lib. XXXIV. Cap. 8.} ’t welck onder de Konstenaers eenen Canon ofte richt-snoer geheeten wordt, omdat sy den rechten treck der Konste daeruyt, als uyt een sekere wet, plagten te haelen:

Quotation

Pour ce qui concerne la Proportion, c’est-à-dire la Symmetrie ou correspondance du Tout avec ses parties, c’est une chose facile, et à la portée de tous les esprits : ce qui fait que l’ignorance est sans excuse, parce qu’on peut l’acquerir presque sans peine, et mesmes par une estude entierement mechanique : mais le seul moyen de parvenir à sa perfection, et d’en avoir une connoissance bien esclairée, c’est d’aller par le chemin de la Geométrie, qui est la source de tous les Arts. […]

Quotation

Dewijl het dan vast gaet dat de waere schoonheyd der naturelicker lichaemen maer alleen in de ghevoeghlicheydt deser Harmonie te vinden is, soo volght het oock daer uyt onwedersprekelick, dat de rechte naeboetsinghe deser lichamen voornamelick in het waernemen deser Harmonie gheleghen is. Alle ghedeelten van een stock-beeld behooren schoon te sijn seght Socrates apud Stobaeum Serm. I. wy en staen in de Colossische wercken niet soo seer op de aerdighe netticheyt van elck bysonder ghedeelte, of wy plaghten vele meer op de schoonheyd van ’t gheheele maecksel te letten, seght Strabo Lib. I. Geogr. Die naeboetsinghen worden voor d’allerspottlickste ghehouden, seght Galenus {Lib. i. de Usu partium corporis humani}, de welcke de ghelijckenisse diese in vele ghedeelten waernemen, in de voornaemste versuymen. Parrhasius, Polycletus, en Asclepiodorus sijn d’eerste en voornaemste grondleggers ende onderhouders deser Symmetrie gheweest. Parrhasius was den eersten die de Schilder-konst haere behoorlicke Symmetrie ghegheven heeft. Plin. XXXV.10. Polycletus nam de Symmetrie op het aller naerstighste waer. Plin XXXIV. 8. Asclepiodorus gingh soo meesterlick met sijne stucken te werck, seght den selvighen Plinius {Lib. XXXV. Cap. 10.}, dat sich Apelles grootlicks plaght te verwonderen over de Symmetrie die hy daer in ghebruyckte.

Quotation

Dewijl het dan vast gaet dat de waere schoonheyd der naturelicker lichaemen maer alleen in de ghevoeghlicheydt deser Harmonie te vinden is, soo volght het oock daer uyt onwedersprekelick, dat de rechte naeboetsinghe deser lichamen voornamelick in het waernemen deser Harmonie gheleghen is. Alle ghedeelten van een stock-beeld behooren schoon te sijn seght Socrates apud Stobaeum Serm. I. wy en staen in de Colossische wercken niet soo seer op de aerdighe netticheyt van elck bysonder ghedeelte, of wy plaghten vele meer op de schoonheyd van ’t gheheele maecksel te letten, seght Strabo Lib. I. Geogr. Die naeboetsinghen worden voor d’allerspottlickste ghehouden, seght Galenus {Lib. i. de Usu partium corporis humani}, de welcke de ghelijckenisse diese in vele ghedeelten waernemen, in de voornaemste versuymen. Parrhasius, Polycletus, en Asclepiodorus sijn d’eerste en voornaemste grondleggers ende onderhouders deser Symmetrie gheweest. Parrhasius was den eersten die de Schilder-konst haere behoorlicke Symmetrie ghegheven heeft. Plin. XXXV.10. Polycletus nam de Symmetrie op het aller naerstighste waer. Plin XXXIV. 8. Asclepiodorus gingh soo meesterlick met sijne stucken te werck, seght den selvighen Plinius {Lib. XXXV. Cap. 10.}, dat sich Apelles grootlicks plaght te verwonderen over de Symmetrie die hy daer in ghebruyckte.

Quotation

Mais establissons auparavant nostre cinquiesme partie touchant la Collocation ou Position régulière des Figures dans le Tableau, puisqu’elle est la Base de tout l’Edifice de la Peinture, et pour ainsi dire le lien et l’assemblage des quatre premieres, qui, sans celle-cy, n’ont ny forme, ny subsistance : […]
[…] un Peintre auroit travaillé en vain, et perdu son temps, si après avoir satisfait aux quatre premières Parties, il demeuroit court en cette dernière, où consiste toute l’Eurithmie de l’Art et le Magistère de la Peinture : parce qu’il est inutile d’avoir inventé et composé un Sujet ; et de s’estre estudié à rechercher la beauté, et la juste proportion de chaque figure ; d’estre excellent coloriste ; de savoir donner les Ombres, et les Lumières à tous les corps, avec leurs teintes, et leurs couleurs naturelles ; et de posseder, encore avec cela, le divin Talent de l’Expression des Mouvemens de l’esprit, et des passions, (qui est comme l’Ame de la peinture), si, après toutes ces nobles Parties, on se trouve depourveu d’intelligence au fait de la position reguliere des Figures dans le Tableau.
Il faut donc conclure, que si les autres, ou toutes ensembles, ou prises chacune à part, sont utiles et avantageuses à un Peintre, celle-cy luy est absolument necessaire.

Car quoy qu’un Tableau n’ait pas entièrement satisfait à quelqu’une des quatre premières Parties, ou que mesmes il soit foible, et en quelque sorte deffectueux en toutes ensemble ; neanmoins si cette derniere, dont nous traitons, s’y trouve à sa perfection, l’ouvrage sera toûjours estimable et digne d’un Peintre : parce que l’Ordre est la source, et le vray principe des Sciences : Et pour le regard des Arts, il a cela de particulier, et de merveilleux, qu’il est le père de la Beauté, et qu’il donne mesme de la grace aux choses les plus mediocres, et les rend considerables.
Voyons en quoy consiste cette partie si importante, et par maniere de dire, si Totale, qui acheve non seulement de former un Peintre, mais qui comprend tout ce que la Peinture a de scientifique, et qui la tire d’entre les Arts mechaniques pour luy donner le reng parmi les Sciences.
Les Geometres, qui sont les vrais maistres de cette question, pour en exprimer l’Intelligence, se servent du nom d’Optique, voulant dire ce terme-là, que c’est l’Art de voir les choses par la raison, et avec les yeux de l’Entendement : car on seroit bien impertinent de s’imaginer que les yeux du corps fussent d’eux-mesmes capables d’une si sublime operation, que de pouvoir estre juges de la beauté et de l’excellence d’un tableau.
Et comme le Peintre fait profession d’imiter les choses selon qu’il les void, il est certain que s'il voit mal, il  les représentera conforme[s] à sa mauvaise imagination, et fera une mauvaise peinture ; si bien qu’avant que de prendre le crayon et les pinceaux, il faut qu’il ajuste son œil avec le raisonnement, par les principes qui enseignent à voir les choses, non seulement ainsi qu’elles sont en elles-mesmes, mais encore selon qu’elles doivent estre figurées. Car ce seroit bien souvent une lourde faute de les peindre precisément comme l’œil les void, quoique cela semble un paradoxe.
Or cet Art si necessaire, que les sçavans ont nommé l’Optique, et que les Peintres, et tous les Desseignateurs appellent communement la Perspective, donne des moyens infaillibles de representer precisément sur une surface (telle qu’est la toile d’un tableau, une parois, une feuille de papier, ou telle autre chose)
tout ce que l’œil void et peut comprendre d’une seule œillade, pendant qu’il demeure ferme en un mesme lieu. […] je monstreray icy par des exemples, et par l’examen critique de diverses Pieces qui se voyent en estampe aprés Raphael (le plus celebre des Peintres Modernes, et le plus exact en ses Ouvrages) de quelle importance est cette Perspective ou collocation reguliere des Figures dans un Tableau ; vû que c’est par elle qu’on decide precisément, et avec demonstration, ce qui est bien, et ce qui est mal.
[…]

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Pour ce qui concerne la Proportion, c’est-à-dire la Symmetrie ou correspondance du Tout avec ses parties, c’est une chose facile, et à la portée de tous les esprits : ce qui fait que l’ignorance est sans excuse, parce qu’on peut l’acquerir presque sans peine, et mesmes par une estude entierement mechanique : mais le seul moyen de parvenir à sa perfection, et d’en avoir une connoissance bien esclairée, c’est d’aller par le chemin de la Geométrie, qui est la source de tous les Arts. […]

Quotation

Pour ce qui concerne la Proportion, c’est-à-dire la Symmetrie ou correspondance du Tout avec ses parties, c’est une chose facile, et à la portée de tous les esprits : ce qui fait que l’ignorance est sans excuse, parce qu’on peut l’acquerir presque sans peine, et mesmes par une estude entierement mechanique : mais le seul moyen de parvenir à sa perfection, et d’en avoir une connoissance bien esclairée, c’est d’aller par le chemin de la Geométrie, qui est la source de tous les Arts. […]

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La PROPORTION est une juste correspondance du tout avec ses parties ; la plûpart des hommes se peuvent rendre capables de cette connoissance, & la GEOMETRIE qui est la source ou comme la guide de tous les autres Arts, est en même tems le chemin le plus assuré pour y parvenir. Entre les Peintres & les Sculpteurs anciens qui ont excellé dans cette partie Quintilien & beaucoup d’autres ont singulièrement remarqué PARRHAZIUS, PRAXITELLE, ZEUXIS, LYSIPPE, POLICRETTE, EUPHRANOR, & le celebre ASCLEPIODORE, à qui l’excellent APELLE faisoit gloire de ceder dans la justesse des proportions.

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Galenus {Lib. V. de Hippocratis & Platonis dogmatibus} ghewaeght dat Polycletus niet alleen de regulen om een volkomen stuck-wercks te maecken in ’t schrift ghestelt heeft, maer dat hy boven dien goed vond een statue nae ’t voorschrift der voornoemder regulen te maecken. Policletus maeckte een stuck wercks, seght Plinius {Lib. XXXIV. Cap. 8.} ’t welck onder de Konstenaers eenen Canon ofte richt-snoer geheeten wordt, omdat sy den rechten treck der Konste daeruyt, als uyt een sekere wet, plagten te haelen:

Quotation

Galenus {Lib. V. de Hippocratis & Platonis dogmatibus} ghewaeght dat Polycletus niet alleen de regulen om een volkomen stuck-wercks te maecken in ’t schrift ghestelt heeft, maer dat hy boven dien goed vond een statue nae ’t voorschrift der voornoemder regulen te maecken. Policletus maeckte een stuck wercks, seght Plinius {Lib. XXXIV. Cap. 8.} ’t welck onder de Konstenaers eenen Canon ofte richt-snoer geheeten wordt, omdat sy den rechten treck der Konste daeruyt, als uyt een sekere wet, plagten te haelen:

Quotation

Dewijl het dan vast gaet dat de waere schoonheyd der naturelicker lichaemen maer alleen in de ghevoeghlicheydt deser Harmonie te vinden is, soo volght het oock daer uyt onwedersprekelick, dat de rechte naeboetsinghe deser lichamen voornamelick in het waernemen deser Harmonie gheleghen is. Alle ghedeelten van een stock-beeld behooren schoon te sijn seght Socrates apud Stobaeum Serm. I. wy en staen in de Colossische wercken niet soo seer op de aerdighe netticheyt van elck bysonder ghedeelte, of wy plaghten vele meer op de schoonheyd van ’t gheheele maecksel te letten, seght Strabo Lib. I. Geogr. Die naeboetsinghen worden voor d’allerspottlickste ghehouden, seght Galenus {Lib. i. de Usu partium corporis humani}, de welcke de ghelijckenisse diese in vele ghedeelten waernemen, in de voornaemste versuymen. Parrhasius, Polycletus, en Asclepiodorus sijn d’eerste en voornaemste grondleggers ende onderhouders deser Symmetrie gheweest. Parrhasius was den eersten die de Schilder-konst haere behoorlicke Symmetrie ghegheven heeft. Plin. XXXV.10. Polycletus nam de Symmetrie op het aller naerstighste waer. Plin XXXIV. 8. Asclepiodorus gingh soo meesterlick met sijne stucken te werck, seght den selvighen Plinius {Lib. XXXV. Cap. 10.}, dat sich Apelles grootlicks plaght te verwonderen over de Symmetrie die hy daer in ghebruyckte.

Quotation

Pour ce qui concerne la Proportion, c’est-à-dire la Symmetrie ou correspondance du Tout avec ses parties, c’est une chose facile, et à la portée de tous les esprits : ce qui fait que l’ignorance est sans excuse, parce qu’on peut l’acquerir presque sans peine, et mesmes par une estude entierement mechanique : mais le seul moyen de parvenir à sa perfection, et d’en avoir une connoissance bien esclairée, c’est d’aller par le chemin de la Geométrie, qui est la source de tous les Arts. […]

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Dewijl het dan vast gaet dat de waere schoonheyd der naturelicker lichaemen maer alleen in de ghevoeghlicheydt deser Harmonie te vinden is, soo volght het oock daer uyt onwedersprekelick, dat de rechte naeboetsinghe deser lichamen voornamelick in het waernemen deser Harmonie gheleghen is. Alle ghedeelten van een stock-beeld behooren schoon te sijn seght Socrates apud Stobaeum Serm. I. wy en staen in de Colossische wercken niet soo seer op de aerdighe netticheyt van elck bysonder ghedeelte, of wy plaghten vele meer op de schoonheyd van ’t gheheele maecksel te letten, seght Strabo Lib. I. Geogr. Die naeboetsinghen worden voor d’allerspottlickste ghehouden, seght Galenus {Lib. i. de Usu partium corporis humani}, de welcke de ghelijckenisse diese in vele ghedeelten waernemen, in de voornaemste versuymen. Parrhasius, Polycletus, en Asclepiodorus sijn d’eerste en voornaemste grondleggers ende onderhouders deser Symmetrie gheweest. Parrhasius was den eersten die de Schilder-konst haere behoorlicke Symmetrie ghegheven heeft. Plin. XXXV.10. Polycletus nam de Symmetrie op het aller naerstighste waer. Plin XXXIV. 8. Asclepiodorus gingh soo meesterlick met sijne stucken te werck, seght den selvighen Plinius {Lib. XXXV. Cap. 10.}, dat sich Apelles grootlicks plaght te verwonderen over de Symmetrie die hy daer in ghebruyckte.

Quotation

Galenus {Lib. V. de Hippocratis & Platonis dogmatibus} ghewaeght dat Polycletus niet alleen de regulen om een volkomen stuck-wercks te maecken in ’t schrift ghestelt heeft, maer dat hy boven dien goed vond een statue nae ’t voorschrift der voornoemder regulen te maecken. Policletus maeckte een stuck wercks, seght Plinius {Lib. XXXIV. Cap. 8.} ’t welck onder de Konstenaers eenen Canon ofte richt-snoer geheeten wordt, omdat sy den rechten treck der Konste daeruyt, als uyt een sekere wet, plagten te haelen:

Quotation

Galenus {Lib. V. de Hippocratis & Platonis dogmatibus} ghewaeght dat Polycletus niet alleen de regulen om een volkomen stuck-wercks te maecken in ’t schrift ghestelt heeft, maer dat hy boven dien goed vond een statue nae ’t voorschrift der voornoemder regulen te maecken. Policletus maeckte een stuck wercks, seght Plinius {Lib. XXXIV. Cap. 8.} ’t welck onder de Konstenaers eenen Canon ofte richt-snoer geheeten wordt, omdat sy den rechten treck der Konste daeruyt, als uyt een sekere wet, plagten te haelen:

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Dewijl het dan vast gaet dat de waere schoonheyd der naturelicker lichaemen maer alleen in de ghevoeghlicheydt deser Harmonie te vinden is, soo volght het oock daer uyt onwedersprekelick, dat de rechte naeboetsinghe deser lichamen voornamelick in het waernemen deser Harmonie gheleghen is. Alle ghedeelten van een stock-beeld behooren schoon te sijn seght Socrates apud Stobaeum Serm. I. wy en staen in de Colossische wercken niet soo seer op de aerdighe netticheyt van elck bysonder ghedeelte, of wy plaghten vele meer op de schoonheyd van ’t gheheele maecksel te letten, seght Strabo Lib. I. Geogr. Die naeboetsinghen worden voor d’allerspottlickste ghehouden, seght Galenus {Lib. i. de Usu partium corporis humani}, de welcke de ghelijckenisse diese in vele ghedeelten waernemen, in de voornaemste versuymen. Parrhasius, Polycletus, en Asclepiodorus sijn d’eerste en voornaemste grondleggers ende onderhouders deser Symmetrie gheweest. Parrhasius was den eersten die de Schilder-konst haere behoorlicke Symmetrie ghegheven heeft. Plin. XXXV.10. Polycletus nam de Symmetrie op het aller naerstighste waer. Plin XXXIV. 8. Asclepiodorus gingh soo meesterlick met sijne stucken te werck, seght den selvighen Plinius {Lib. XXXV. Cap. 10.}, dat sich Apelles grootlicks plaght te verwonderen over de Symmetrie die hy daer in ghebruyckte.

Quotation

La PROPORTION est une juste correspondance du tout avec ses parties ; la plûpart des hommes se peuvent rendre capables de cette connoissance, & la GEOMETRIE qui est la source ou comme la guide de tous les autres Arts, est en même tems le chemin le plus assuré pour y parvenir. Entre les Peintres & les Sculpteurs anciens qui ont excellé dans cette partie Quintilien & beaucoup d’autres ont singulièrement remarqué PARRHAZIUS, PRAXITELLE, ZEUXIS, LYSIPPE, POLICRETTE, EUPHRANOR, & le celebre ASCLEPIODORE, à qui l’excellent APELLE faisoit gloire de ceder dans la justesse des proportions.